printemps ouest

Publié en juin 2015
70 pages
ISBN : 979-10-91405-22-5

L'Irlande, ses paysages, ses poètes, des moments mémorables


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et puis surtout laissez-moi un petit commentaire sur ce livre, n'hésitez pas cela m'intéresse beaucoup. C'est juste ici en dessous :

Commentaires

  1. Reçu ce commentaire de la part de Guénane :

    En tout cas, j'ai fait le voyage bien accompagnée.
    Bailar para no morir, à chacun ses références, les souvenirs aiment danser pour ne pas mourir et l'Irlande peut suffire à ceux qui ont besoin d'ailleurs pour se retrouver. L'Irlande, pays qui n'a pas à guérir de lui-même puisqu'il a résisté, puisque la pluie lave pour mieux repeindre et que la couleur protège la mémoire, la tienne aussi. Ta poésie fredonne et entraîne la prose, nous lisons, nous apercevons, nous entendons l'Irlande que tu guettes.
    C'est doux d'entrer dans l'intimité de ton voyage, imagé et rythmé.
    C'est le livre infini d'un voyage à réinventer toujours.
    Parfois une indolence plaintive, parfois une insolence rétive, les mots sont bien à leur place, sans truquages, le miroir des "semblances" me ramène à Brocéliande et les arrière - bars à Jacques Josse et tous ceux qui voyagent au fond d'un verre.
    Le poète capteur fouille les interstices, les messages des fêlures, les touristes ignorent ces privilèges et le poète doit savoir qu'il trouve écho dans le cœur de celui qui sait.
    A chacun ses brumes et, vrai, la liberté intérieure ne les craint.

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  2. Reçu ce commentaire de la part de Pierre Tanguy :

    On connaissait l’Irlande des écrivains bretons Bernard Berrou et de Hervé Jaouen. Mais il y a aussi, désormais, l’Irlande de Denis Heudré, racontée dans Printemps Ouest.
    On connaissait le haïbun japonais (mêlant haïkus et textes en prose). Il y a désormais le « Haïbun » irlandais inauguré par Denis Heudré, dans un livre mêlant courts poèmes et passages en prose accompagnés de photos.

    L’auteur ne se cache pas derrière le petit doigt : il nous propose « le portrait supposé d’un pays poème ». Car c’est l’Irlande qu’on aime qu’il nous propose ici. Un pays qu’il arpente avec bonheur dans les pas de Seamus Heaney et de Yeats. « La musique nous offre quelques fleurs/la couleur est un cri de pétale déchiré », écrit Denis Heudré. « En venant ici/on ne pensait pas avoir/tous les vents du monde/ à nos chevilles » (vraiment ?)
    Ce « pays poème » nous parle de l’agneau, des petites routes, de la bière, du whisky et de la pluie. Et même du vert irlandais. Ce n’est pas une surprise. Mais, comme pour un bon mets, on ne s’en lasse pas. Et on en redemande. Parce que l’Irlande reste, sans doute, la seule île où l’on imagine pouvoir un jour émigrer si la barbarie gagnait notre continent.
    Pierre TANGUY.

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